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Les banques de change n'ont pas de préjugés envers les investisseurs disposant de capitaux importants.
Dans le cadre des opérations de change bilatérales, les banques de change n'ont pas de préjugés envers les investisseurs disposant de capitaux importants. Si elles exigent de ces investisseurs qu'ils justifient la provenance des fonds lors de leurs dépôts, même si ces fonds proviennent des dix plus grandes banques mondiales, c'est principalement en raison d'une analyse approfondie de multiples facteurs nécessaires, notamment le respect des réglementations financières nationales et internationales et la maîtrise de leurs propres risques opérationnels. Cette logique interne peut être décomposée en plusieurs aspects.
Premièrement, il s'agit de se conformer aux exigences strictes en matière de lutte contre le blanchiment d'argent et autres réglementations connexes, aux niveaux national et international. En tant qu'entités financières directement réglementées par les autorités nationales de supervision et de gestion des marchés financiers, les banques de change sont tenues d'appliquer rigoureusement les directives réglementaires en vigueur en matière de lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme. Parmi les différents types de fonds, les sommes importantes constituent des cibles privilégiées pour les activités financières illégales telles que le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme. Par conséquent, exiger des grands investisseurs qu'ils justifient la provenance de leurs fonds est une mesure essentielle pour permettre aux banques de change de respecter leurs obligations légales de vigilance. Cette opération permet de vérifier efficacement que les fonds ne proviennent pas de circuits illégaux tels que le trafic de stupéfiants ou la contrebande, empêchant ainsi la banque de servir d'intermédiaire dans le blanchiment d'argent. Toute violation de cette réglementation entraînera de lourdes amendes, des restrictions d'utilisation de la licence et une série de sanctions sévères, impactant fortement les activités principales de la banque.
Deuxièmement, il s'agit d'adapter le contrôle des risques aux besoins opérationnels de la banque. Comparées aux grandes banques multinationales, la plupart des banques de change ont une taille opérationnelle globale relativement limitée. Les flux importants de capitaux entrants et sortants exercent une pression considérable sur les aspects opérationnels fondamentaux des banques de change, tels que la gestion des fonds et l'allocation des liquidités. Plus important encore, si ces sommes considérables sont impliquées dans des litiges ou jugées illicites par les autorités de régulation, les banques de change risquent fort d'être confrontées à des enquêtes juridiques complexes et même à des risques importants, comme le gel des fonds. De telles situations peuvent impacter fortement leur système opérationnel global. En vérifiant au préalable la provenance des fonds importants, les banques de change peuvent filtrer efficacement ces risques potentiels, garantissant ainsi la stabilité et la continuité de leurs opérations.
Par ailleurs, il s'agit de clarifier les limites des transactions, assurant ainsi simultanément la conformité des entreprises et les droits des investisseurs. La plupart des banques de change fixent des plafonds de dépôt trimestriels. Les transactions inférieures à ces plafonds sont traitées automatiquement selon la procédure habituelle, tandis que celles qui les dépassent exigent des investisseurs qu'ils fournissent des informations complémentaires, telles qu'une preuve de la provenance des fonds. Ce mécanisme n'est pas une restriction spécifiquement conçue pour les gros investisseurs ; son objectif principal est de distinguer clairement les transactions ordinaires des transactions exceptionnelles. En effet, même d'importantes sommes d'argent transférées depuis des banques traditionnelles peuvent provenir de sources particulières, telles qu'un héritage ou une vente immobilière. Exiger des justificatifs permet de clarifier la légalité des fonds. Du point de vue de la banque, cette exigence constitue le fondement de son processus de vérification des transactions, évitant ainsi divers litiges juridiques liés à des doutes sur la provenance des fonds. Du point de vue de l'investisseur, cette mesure empêche efficacement l'afflux de sommes importantes vers la banque après une fraude, ou les transferts importants après le vol de comptes, protégeant ainsi indirectement ses fonds.
Enfin, il s'agit d'harmoniser les normes de gestion de la clientèle et d'éviter d'éventuelles failles réglementaires. Étant donné que les banques de change proposent généralement des services financiers à des clients dans la plupart des pays du monde, assouplir les critères de vérification pour les sommes importantes, du seul fait de leur origine (banques traditionnelles), créerait inévitablement d'importantes lacunes dans leurs règles. Par exemple, certains fonds illicites pourraient transiter par des comptes intermédiaires dans des banques traditionnelles avant d'être transférés vers des comptes de banques de change afin de dissimuler leur nature illégale. Des critères de vérification différenciés favoriseraient de telles infractions. Par conséquent, exiger systématiquement une preuve d'origine pour tout montant important dépassant le seuil autorisé permet de prévenir efficacement toute fraude réglementaire, de garantir des critères d'examen uniformes pour tous les investisseurs et, ainsi, de préserver l'équité des services financiers et la rigueur des opérations commerciales.

Dans le domaine du trading bidirectionnel sur le marché des changes, les ordres en attente, grâce à leur logique de trading spécifique, constituent une solution performante pour aider les traders à surmonter le principal défaut humain : « l'impatience ». Leur valeur intrinsèque peut être analysée en profondeur en combinant les caractéristiques humaines et des scénarios de trading concrets.
Dans la vie sociale traditionnelle, « attendre » est un comportement extrêmement courant. Par exemple, attendre que quelqu'un s'occupe d'une affaire peut parfois se faire attendre plusieurs heures. Cependant, par nécessité, les traders n'ont souvent d'autre choix que de patienter, surtout lorsqu'ils ont besoin de quelque chose. Ils doivent également réprimer toute frustration ou colère potentielle, et afficher une patience apparente. Ce processus d'attente passif et prolongé engendre souvent un fort sentiment de stress et d'anxiété. Cette tendance humaine est amplifiée et a un impact négatif sur le marché des changes.
Sur le marché des changes, caractérisé par des transactions à double sens, l'un des principaux problèmes rencontrés par la plupart des traders perdants est leur incapacité à patienter. Ils sont toujours impatients d'ouvrir des positions, de réaliser des profits à court terme et de les clôturer pour sortir du marché. Même lorsque leur analyse de la tendance générale est parfaitement juste, ils ont du mal à tolérer les pertes latentes à court terme pendant la période de détention. Ils clôturent souvent leurs positions prématurément, avant que la tendance ne se soit pleinement développée et que le potentiel de profit ne se soit concrétisé, ratant ainsi des gains substantiels. La cause profonde de ce comportement est l'impatience humaine.
C'est précisément pour répondre à cette problématique que l'importance des ordres en attente est pleinement mise en évidence, ce qui en fait une excellente méthode pour pallier cette impatience. En pratique, les traders peuvent utiliser les ordres en attente pour attendre des points d'entrée avantageux, évitant ainsi de surveiller constamment le marché et de prendre des positions impulsives et émotionnelles. Les ordres en attente permettent également de sécuriser des points de sortie optimaux, empêchant les prises de bénéfices prématurées ou le déclenchement d'ordres stop-loss dus au déséquilibre émotionnel causé par les fluctuations du marché. Plus important encore, en plaçant plusieurs petits ordres en attente, les traders peuvent éviter l'attente angoissante liée aux pertes latentes sur des positions importantes, diversifiant ainsi le risque et atténuant la pression psychologique engendrée par les fortes fluctuations d'une position unique.
Du point de vue du perfectionnement des compétences de trading, la maîtrise des logiques et des techniques des ordres en attente représente une avancée majeure dans l'approche et le système opérationnel des traders. Ils acquièrent alors les qualités essentielles pour générer des profits stables sur le marché des changes, franchissant une étape cruciale vers la réussite.

Dans le domaine du trading bidirectionnel sur le marché des changes, la gestion multi-comptes (MAM) et la gestion de l'allocation en pourcentage (PAMM) sont essentiellement des systèmes de services gérés. Cependant, ce mécanisme n'est pas reconnu par les autorités de régulation dans la plupart des pays du monde.
Les autorités de régulation des changes de pays comme les États-Unis, le Japon et la France ont explicitement rejeté ce type de modèle économique. La raison principale est que ce mécanisme est extrêmement susceptible d'engendrer des risques et des problèmes multidimensionnels, notamment des atteintes aux droits des investisseurs, des difficultés de mise en œuvre réglementaire et des violations des règles de conformité. La logique sous-jacente peut être analysée à différents niveaux.
Premièrement, la difficulté à protéger les droits des investisseurs dans le cadre de ce mécanisme est extrêmement élevée et les risques potentiels sont très importants. Dans les modèles opérationnels MAM et PAMM, les investisseurs doivent confier entièrement la gestion de leurs fonds aux gestionnaires. Leurs profits et pertes dépendent alors exclusivement de la compétence et de l'éthique professionnelles de ces derniers. Or, nombre de gestionnaires sur le marché actuel ne possèdent pas les qualifications requises, ce qui représente une menace sérieuse pour la sécurité du capital des investisseurs. Par exemple, certains gestionnaires non qualifiés, en quête de rendements élevés à court terme, peuvent adopter des stratégies de trading excessivement agressives, utilisant l'effet de levier de manière aveugle pour des opérations de trading massives. En cas de retournement du marché des changes, les investisseurs subiront des pertes considérables. Pire encore, certains peuvent s'entendre avec des courtiers forex pour réaliser des profits illégaux, en recourant notamment à des placements d'ordres frauduleux pour percevoir des commissions élevées et à la falsification des relevés de transactions afin de s'emparer directement du capital et des profits des investisseurs. Par ailleurs, ce mécanisme confère aux investisseurs un contrôle extrêmement limité sur le processus de trading. La logique d'allocation des ordres et de contrôle des risques des modèles MAM et PAMM est relativement complexe, rendant difficile pour les investisseurs particuliers de détecter eux-mêmes les opérations anormales. De plus, en cas de pertes, il est souvent difficile d'engager la responsabilité des gestionnaires ou des courtiers en raison de critères de détermination des responsabilités flous et de la difficulté à établir une chaîne de preuves. C’est précisément pourquoi le Japon a intégré des dispositions explicites à sa loi sur les instruments financiers et les échanges afin d’empêcher les entités non qualifiées de gérer les actifs financiers de tiers. L’objectif principal est de prévenir la multiplication de tels incidents, préjudiciables aux droits des investisseurs.
Deuxièmement, le système réglementaire traditionnel est mal adapté à la logique opérationnelle de ce mécanisme, créant ainsi des angles morts réglementaires. Les modèles de négociation et les flux de fonds spécifiques aux MAM et PAMM constituent un défi majeur pour le cadre réglementaire traditionnel des changes. D’une part, la répartition des responsabilités entre les différentes parties prenantes tout au long du processus de gestion des fonds est floue. Les courtiers forex affirment souvent ne fournir que des plateformes de négociation et ne pas intervenir dans les décisions de trading, tandis que les gestionnaires de fonds sont responsables de l’exécution des transactions. En cas d’infraction ou de survenance d’un risque, les deux parties peuvent facilement se décharger de leur responsabilité, ce qui complique l’identification rapide du principal responsable par les autorités de régulation et alourdit le processus réglementaire. D’autre part, ce mécanisme se caractérise par un fonctionnement multiplateforme et multirégional. Certains gestionnaires de fonds choisissent délibérément d'ouvrir des comptes auprès de courtiers enregistrés dans des régions à la réglementation laxiste afin de recevoir des fonds d'investisseurs étrangers. Cette opération transfrontalière contourne directement les limites réglementaires d'un seul pays, empêchant ainsi les autorités de régulation de suivre de manière exhaustive et en temps réel les flux de fonds et d'établir des registres de transactions complets. Ceci ouvre la voie à des activités financières illégales telles que le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme. Par exemple, la France a édicté une réglementation explicite interdisant aux entités non conformes de recevoir des fonds d'investisseurs et de réaliser des opérations de trading via les mécanismes MAM ou PAMM, empêchant ainsi l'exploitation des failles réglementaires par des acteurs illégaux.
De plus, ce mécanisme est très susceptible de violer les exigences de conformité financière et de gestion des qualifications de certains pays. La plupart des pays appliquant une réglementation stricte sur le marché des changes ont établi des normes de qualification rigoureuses pour les services de gestion d'actifs, et les mécanismes MAM et PAMM peuvent facilement contourner ces règles réglementaires dans la pratique. Aux États-Unis, par exemple, les institutions proposant des services de gestion de trading doivent obtenir la qualification de CTA (Commodity Trading Advisor). Au Royaume-Uni, les professionnels de la gestion de placements sont tenus de posséder les qualifications requises et de signer des accords de conformité multipartites avec les investisseurs et les courtiers. Ces accords définissent le champ d'application de l'autorisation, les modalités des frais de service et la répartition des risques. Or, dans les faits, de nombreux gestionnaires de fonds MAM et PAMM obtiennent une autorisation d'exploitation de compte limitée par l'intermédiaire de courtiers forex avant de se lancer directement dans la gestion de portefeuille, sans posséder les qualifications requises par les autorités de régulation. Ce comportement contrevient directement à la réglementation financière locale. Pour les organismes de régulation, reconnaître la conformité des mécanismes MAM et PAMM revient à tolérer des entités non qualifiées fournissant des services financiers, ce qui perturbe gravement l'ordre de gestion des qualifications sur le marché financier. C'est pourquoi ils nient catégoriquement leur conformité.
Enfin, les failles inhérentes aux mécanismes de négociation eux-mêmes peuvent facilement engendrer une volatilité des marchés et des litiges. La logique d'allocation des fonds des MAM et PAMM présente des défauts inévitables susceptibles de provoquer de multiples problèmes, tant au niveau des opérations de négociation qu'à celui du marché. Prenons l'exemple du mécanisme PAMM : son fonctionnement consiste à regrouper les fonds de tous les investisseurs participants sur un compte unique destiné à la négociation. Si un investisseur important retire des fonds en cours de position, cela perturbe fortement la stratégie globale de contrôle des risques, impactant les intérêts des investisseurs plus modestes et pouvant engendrer des conflits de trading entre groupes. Bien que le mécanisme MAM utilise la copie de transactions, il est en pratique très sensible aux erreurs de copie. De plus, lorsque des ordres groupés sont passés et exécutés simultanément, ils peuvent provoquer un choc concentré sur le prix de marché de certaines paires de devises en peu de temps, perturbant ainsi le fonctionnement normal du marché des changes. Par ailleurs, certains mécanismes MAM et PAMM sont utilisés conjointement avec des conseillers experts automatisés (EA). Ces modèles de trading se caractérisent souvent par une fréquence de transactions et un effet de levier élevés, amplifiant considérablement le risque financier des investisseurs individuels et augmentant l'incertitude sur l'ensemble du marché des changes. Ceci contredit les objectifs réglementaires de certains pays qui recherchent la stabilité du marché des changes, une des principales raisons pour lesquelles les autorités de régulation compétentes rejettent ce mécanisme.

À Londres, Sydney, Nicosie, Francfort et même Dubaï, la gestion de comptes agrégés (MAM) et la gestion de comptes agrégés par portefeuille (PAMM) ne sont pas considérées comme intrinsèquement illégales. Les autorités de régulation ont opté pour une approche « exigeante, transparente et traçable », intégrant les comptes agrégés au cadre réglementaire existant de la gestion d'actifs en lieu et place d'une interdiction.
Au Royaume-Uni, la Financial Conduct Authority (FCA) considère les comptes gérés comme des « activités réglementées des gestionnaires d'investissement ». Toute personne physique ou morale doit d'abord obtenir une autorisation de « gestion de portefeuille » au titre de la directive MiFID II, puis signer un « Contrat de conseil en investissement et de conservation » tripartite avec le courtier et le client, définissant clairement le périmètre d'investissement, la limite d'effet de levier, la fréquence de publication des performances et les procédures d'arbitrage des litiges. Les gestionnaires doivent également adhérer au système de médiation financière (FOS) afin de garantir un recours indépendant aux réclamations des clients. Dans le cadre de ses opérations quotidiennes, la FCA exige que les terminaux MAM téléchargent quotidiennement les informations relatives aux avoirs, aux valorisations et aux flux de trésorerie sur le système de déclaration réglementaire (REGIS). Tout compte présentant une fluctuation quotidienne de la valeur liquidative supérieure à 5 % déclenchera automatiquement une enquête, faisant ainsi passer la responsabilité a posteriori à une intervention en cours.
Après avoir plafonné l'effet de levier sur le marché des changes de détail à 1:30 en 2021, l'ASIC (Australian Securities and Investments Commission) a simultanément inclus le PAMM dans l'ordonnance d'intervention relative aux produits dérivés de gré à gré de détail. Cette ordonnance stipule que le fonds doit être détenu séparément par une banque australienne et qu'un état de la valeur liquidative (VL) audité doit être publié quotidiennement. Si un gestionnaire souhaite lever des fonds auprès de fournisseurs externes, il doit au préalable solliciter une licence AFSL (Agency Fund of Investments), en soumettant un prospectus, un test de résistance à la liquidité et un plan de liquidation ordonné. Pour les clients professionnels, un effet de levier de 1:100 est autorisé, mais les détails des souscriptions et rachats importants doivent être communiqués à l'ASIC dans les 24 heures afin d'éviter que des sorties de capitaux transfrontalières soudaines n'amplifient les chocs de marché. La Commission chypriote des valeurs mobilières et des changes (CySEC), s'appuyant sur la directive européenne sur les placements collectifs en valeurs mobilières (OPCVM), classe les fonds de gestion d'actifs (MAM) en tant que « fonds d'investissement alternatifs » (FIA), imposant ainsi le recours à des dépositaires, des prestataires de services administratifs et des auditeurs indépendants pour un triple contrôle. Bien que les frais de fonctionnement annuels puissent atteindre 8 à 10 points de base, ce statut leur confère le droit au passeport européen, leur permettant de commercialiser leurs produits dans 31 États membres.
L’Autorité fédérale de surveillance financière allemande (BaFin) adopte une approche plus prudente : les comptes agrégés sont classés comme « Gestion d’actifs spéciaux » (Spezial-AIF) en vertu de la loi sur les investissements, avec un seuil initial d’un million d’euros, et doivent publier une déclaration d’informations clés (DICI) au Journal officiel fédéral (Bundesanzeiger). Les banques dépositaires sont tenues de surveiller quotidiennement chaque opération à effet de levier. Si l’utilisation de la marge dépasse 30 % de la valeur liquidative, elles doivent procéder à la liquidation et en informer rapidement la BaFin. L’Autorité des services financiers de Dubaï (DFSA), s’appuyant sur le cadre du « Fonds régional du Moyen-Orient », autorise les MAM à s’enregistrer comme « fonds d’investisseurs accrédités » au Centre financier international de Dubaï (DIFC), mais fixe un montant de souscription minimal de 500 000 USD pour les clients particuliers et exige des gestionnaires qu’ils soient titulaires d’une certification CISI pour les gestionnaires d’investissement et d’une licence de responsable de la conformité délivrée par Dubaï, conciliant ainsi les exigences d’ouverture des places financières et le contrôle du risque systémique.
À l'inverse, la licence de classe C de la Commission des services financiers du Vanuatu (VFSC), bien qu'autorisant en théorie la « gestion collective d'actifs », n'impose ni inspections sur place ni exigences en matière de fonds propres. Les rapports annuels se limitent à un bilan simplifié et ne nécessitent aucun audit. Ce système laxiste attire de nombreux courtiers offshore qui installent leurs serveurs à Sydney ou à Singapour, tout en utilisant les licences de la VFSC pour attirer des clients, créant ainsi une zone grise d'« arbitrage réglementaire » – les fonds quittant le pays – sans aucun recours en cas de litige. L'OCDE a classé le Vanuatu parmi les « juridictions à haut risque » dès 2019, soulignant que son évaluation en matière de lutte contre le blanchiment d'argent ne respectait que 64 % des normes du GAFI. Pour les investisseurs, ce point d'accès MAM/PAMM, en apparence pratique, constitue en réalité une rupture dans la chaîne de protection des droits.
L'analyse des juridictions susmentionnées révèle que les places financières matures adoptent généralement une stratégie en trois volets – « agrément + information continue + conservation indépendante » – pour les modèles de comptes agrégés, privilégiant la confiance des investisseurs au détriment de coûts de conformité élevés. Les juridictions offshore, quant à elles, attirent les capitaux à risque grâce à des avantages réglementaires, mais sont impuissantes à offrir des recours judiciaires en cas de litige. Le choix du cadre réglementaire applicable aux services MAM/PAMM constitue le premier et le plus crucial choix que les investisseurs doivent faire entre « la facilité d'utilisation de l'effet de levier » et « la sécurité des fonds ».

Dans le domaine du trading bidirectionnel sur le marché des changes, il n'existe pas de norme mondiale unifiée définissant les critères de qualification des gestionnaires individuels pour les modèles MAM (Gestion multi-comptes) et PAMM (Gestion de l'allocation en pourcentage) dans les services de trading géré sur le marché des changes.
Le facteur déterminant dépend de la réglementation financière du pays ou de la région du gestionnaire. Par ailleurs, les courtiers forex avec lesquels il collabore fixent également des conditions d'accès supplémentaires en fonction de leurs propres besoins en matière de contrôle des risques. Il en résulte des différences importantes dans les critères de définition des qualifications selon les régions. La logique de définition spécifique peut être analysée en détail du point de vue des exigences réglementaires, des spécificités régionales et des seuils implicites du secteur.
Du point de vue des principaux facteurs d'influence, les règles des autorités de régulation des différents pays constituent la base principale de la définition des qualifications des gestionnaires. Les différents cadres réglementaires régionaux fixent des exigences claires en matière de qualifications et d'agréments, de seuils de capital et de documents de conformité. Sur le marché financier britannique, la Financial Conduct Authority (FCA) impose des exigences de qualification strictes aux gestionnaires MAM/PAMM. Les professionnels doivent obtenir les qualifications de gestionnaire d'investissement requises et satisfaire à une série d'exigences réglementaires. Celles-ci incluent la signature d'une convention de gestion d'investissement (IMA) avec les clients afin de définir clairement l'étendue des services, la répartition des responsabilités et la distribution des bénéfices. En cas de gestion d'actifs d'investisseurs particuliers, la conformité totale avec la réglementation britannique sur les marchés d'instruments financiers (MiFID) est également requise. La FCA fixe des seuils de capital différenciés selon la taille des entités. Les petites institutions non affiliées doivent satisfaire à une exigence de capital minimum de 75 000 £. Les gestionnaires de fonds de clients sont soumis à des exigences de réserves de fonds propres plus élevées et doivent soumettre à l'autorité de réglementation des rapports d'évaluation interne de l'adéquation des fonds propres, une description de leur structure organisationnelle et d'autres documents de conformité. De plus, chaque gestionnaire doit signer une convention de procuration limitée (LPOA) avec ses clients et courtiers partenaires afin de définir clairement l'étendue de son autorisation pour l'exécution des ordres et l'allocation des fonds, empêchant ainsi toute opération non autorisée ou illégale.
Dans le cadre du système de réglementation financière américain, les personnes souhaitant exercer la fonction de gestionnaire MAM/PAMM doivent obtenir la qualification de conseiller en négociation de matières premières (CTA), reconnue conjointement par la Commodity Futures Trading Commission (CFTC) et la National Futures Association (NFA). Il s'agit du seuil d'accès à la profession. Lors de leur demande de qualification, les gestionnaires doivent fournir aux organismes de réglementation des informations personnelles détaillées, notamment leur numéro de sécurité sociale, leur patrimoine net, leur revenu annuel et d'autres données financières et d'identité essentielles. Ils doivent également fournir des documents justificatifs de base, tels qu'une pièce d'identité et un justificatif de domicile. Pour les cadres détenant 10 % ou plus du capital de l'établissement concerné, des informations d'identité et des documents relatifs à leur parcours professionnel doivent également être fournis à des fins d'archivage. Outre les exigences de qualification, les organismes de réglementation américains imposent également aux gestionnaires des obligations strictes de transparence, stipulant qu'ils doivent divulguer honnêtement aux investisseurs la logique sous-jacente à leurs stratégies de trading, les données de performance passées et les risques d'investissement potentiels. Il leur est formellement interdit d'induire les investisseurs en erreur en dissimulant des pertes ou en exagérant les rendements, garantissant ainsi la transparence et le droit à l'information des investisseurs.
Le marché australien inclut les gestionnaires personnels MAM/PAMM dans le champ d'application de l'évaluation des qualifications des gestionnaires responsables. La définition des qualifications repose principalement sur trois dimensions clés : la compétence professionnelle, l'expérience professionnelle et la réputation en matière de conformité. Premièrement, en termes de connaissances professionnelles, les praticiens doivent posséder une formation universitaire en finance ou une certification reconnue du secteur. Deuxièmement, concernant l'expérience pratique, ils doivent justifier d'au moins plusieurs années d'expérience directement liée au trading de devises, et les types de clients qu'ils ont servis par le passé doivent correspondre à ceux qu'ils envisagent de servir, garantissant ainsi leur capacité à intervenir dans les situations correspondantes. Enfin, en matière de réputation de conformité, les praticiens ne doivent avoir aucun antécédent négatif lié à des interdictions réglementaires du secteur financier, des infractions majeures, etc., et doivent réussir une vérification rigoureuse de leurs antécédents, en fournissant des lettres de recommandation dans leur domaine professionnel pour attester de leur bonne réputation. De plus, l'ASIC (Australian Securities and Investments Commission) exige des gestionnaires de portefeuille qu'ils participent en continu à des formations professionnelles afin de garantir que leurs compétences restent adaptées à l'évolution constante du marché et des politiques réglementaires.
Dans certaines régions où la réglementation est plus souple, bien que les autorités financières locales n'exigent pas de licences spécifiques pour les gestionnaires individuels, les courtiers forex partenaires définissent des critères d'admission, basés sur leurs propres besoins en matière de contrôle des risques, afin de sélectionner les fournisseurs de stratégies qualifiés. Certains courtiers exigent explicitement des fournisseurs de stratégies PAMM qu'ils fournissent au moins six mois d'historique de comptes de trading réels constamment rentables, ainsi qu'un portefeuille supérieur à 50 000 $ pour démontrer la stabilité de leur gestion de capital. De plus, ils doivent soumettre un formulaire de demande de stratégie de trading détaillé expliquant clairement leur logique de trading, leur système de contrôle des risques et leurs objectifs de profit.
Outre les exigences réglementaires et les seuils des courtiers, les qualifications implicites, courantes dans le secteur, constituent des critères importants pour évaluer les compétences des gestionnaires MAM/PAMM. Même si elles ne sont pas imposées par les autorités de réglementation, investisseurs et courtiers les utilisent comme points de référence essentiels. En matière de performance, l'historique de trading du gestionnaire est un élément clé, notamment sa capacité à générer des profits stables sur le long terme et à maîtriser les risques. Les indicateurs quantitatifs, tels que le taux de perte maximal, sont des critères d'évaluation cruciaux. Concernant les certifications professionnelles, les certifications reconnues du secteur, comme celles de Chartered Financial Analyst (CFA) et de Chartered Market Technologist (CMT), bien que non obligatoires, renforcent considérablement la crédibilité du gestionnaire sur le marché. En matière de gestion de comptes, certains courtiers exigent des gestionnaires qu'ils gèrent des comptes avec un certain montant de capitaux propres, par exemple 10 000 $, et imposent des accords formels aux investisseurs afin de définir clairement les ratios de partage des bénéfices, la tolérance à la perte maximale et les autres modalités de coopération essentielles pour protéger les intérêts des deux parties.



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